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La convergence d’un peuple maltraité

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Publié le 8 décembre 2019
Mine de rien, les choses avancent.
Evidemment, on aimerait tous que ça aille plus vite. Mais l’individualisme est une habitude difficile à remettre en question d’autant que tout a été fait durant des années pour nous empêcher ce rapprochement.
Le Gaulois, certes réfractaire au changement, plutôt conservateur, n’en reste pas moins un farouche défenseur des libertés tant publiques qu’individuelles. C’est une des valeurs inamovibles que nous avons tous chevillée au corps.
Après une année de mobilisation hebdomadaire, le mouvement s’est essouflé par moment et c’est bien normal, mais n’a rien perdu de sa motivation, bien au contraire. Celle-ci n’a fait que monter en puissance, malgré les violences inadmissibles d’un Etat acculé totalement contreproductives qui n’a fait que renforcer notre détermination.
Et necéssité faisant loi, la convergence d’un peuple exangue ne peut qu’en être l’aboutissement et la seule issue.
Nous sommes tous dans le même bateau et tout ce que nous subissons, bien que les intérêts ne soient pas forcément les mêmes pour tous, les causes profondes sont les mêmes :
L’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits naturels sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption de nos gouvernements.
 
De puissantes graines ont été semées tout au long de cette année épuisante pour tous et ont permis que beaucoup prennent conscience de l’importance de la responsabilité et de la responsabilisation de chacun dans cette époque charnière que nous traversons.
Cependant, il n’y a eu aucune avancée politique tangible. Tous ceux qui se sont présentés à la tribune ne nous ont pas permis d’obtenir la moindre avancée en matière de préservation de nos droits primordiaux et en matière de souveraineté du peuple. Au contraire, ceux-ci n’ont fait que reculer.
C’était un premier pas nécessaire pour que la force que nous représentons tous puisse monter en puissance. Mais cela reste insuffisant.
20 millions de forces vives, ça n’est pas négligeable, face à une petite poignée de salopards. Mais ça n’est pas évident à mobiliser à l’unisson.
Beaucoup de choses restent encore à faire mais les principes de base sont posés.
Un Etat qui répond avec un tel mépris et une telle violence est un Etat qui n’existe déjà plus et qui n’a plus aucun autre moyen pour se maintenir que la coercition et la violence aveugle à laquelle le peuple Gaulois est et sera toujours absolument réfractaire.
Les attaques répétées et continues , chaque jour, depuis l’intronisation surréaliste du Petit Poudré psychopathe déviant, ont achevé ce qu’il nous restait de confiance à l’égard de cette caste politique cocaïnée gavée de privilèges.
Quant aux institutions judiciaires totalement vérolées, inféodées à la franc-maçonnerie et qui n’a plus aucune dignité, cela fera l’objet d’un prochain brûlot. Il y a tant à dire à ce sujet …
Ce qu’il faut que chacun comprenne maintenant, c’est que tant que nous n’aurons pas déclaré officiellement la Ve république abolie, nous n’aurons aucun moyen d’agir face à cet Etat dégénéré devenu ineluctablement totalitaire.
Article 1 du Code Civil ( Loi 1803-03-05 promulguée le 15 mars 1803) :

« Les lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de la promulgation qui en est faite par le Roi (le Président de la République).

Elles seront exécutées dans chaque partie du Royaume (de la République), du moment où la promulgation en pourra être connue.

La promulgation faite par le Roi (le Président de la République) sera réputée connue dans le département de la résidence royale (dans le département où siège le Gouvernement), un jour après celui de la promulgation ; et dans chacun des autres départements, après l’expiration du même délai, augmenté d’autant de jours qu’il y aura de fois 10 myriamètres (environ 20 lieues anciennes), entre la ville où la promulgation en aura été faite, et le chef-lieu de chaque département ».

Nota : La dénomination du Roi a remplacé celle de l’Empereur du fait de l’ordonnance royale du 17 juillet 1816 (Bull. CI, n° 914) 

La question qui se pose alors est la suivante : pourquoi « le président de la république » est mis entre paranthèses dans cet article d’une importance capitale ? Pourquoi n’ont-ils pas pu supprimer « le Roi ».
Tout simplement parce qu’ils ne le pouvaient pas même si d’apparence ils lui ont coupé la tête place de la Concorde à Paris le 21 janvier 1793 …
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