Le mot « crise » ne suffit plus à définir la situation présente, tant le stade de la simple crise a été depuis longtemps dépassé.
Ce que traverse actuellement la France où désormais toute la population est logée à la même enseigne, c’est une calamité, un véritable fléau, au sens littéral des termes.
Une calamité étant un grand malheur collectif. Un fléau étant une grande calamité publique.
L’exécutif représente réellement et désormais notre pire menace. Toutes ses déclarations dépassent l’entendement tant on y côtoit le surréaliste et le cynique.
Il devrait être évident pour tout le monde maintenant que la France ne peut plus se prévaloir d’avoir une constitution, dans la mesure où l’exécutif n’est plus tenu à respecter aucune règle. Or, s’il n’est plus tenu à respecter aucune règle en dehors de l’arbitraire, alors la France N’A PLUS DE CONSTITUTION. Et ce constat est sans appel. Plus personne ne peut l’ignorer.
C’est pourtant ce que le Phoenix Français s’époumone à faire comprendre à tous depuis plusieurs années sans que personne ne semble s’en émouvoir. Tous ceux qui continuent à tourner autour du pot comme des hamsters en cage dans les tribunes médiatiques qui leur sont offertes sont complices de cet état de fait en faisant perdurer cette situation inique.
Si la France n’a plus de constitution, alors la Ve république doit être proclamée abolie. Puisqu’elle est abolie de fait.
Il n’y a pas d’autre solution pour nous sortir de cette situation mortifère ! Et c’est la première des choses qui doivent impérativement être entreprises.
Par les mesures de confinements totalement hors normes et de plus en plus répressives, bien qu’à géométrie totalement variable, l’ensemble de la population est pris en otage par des forces publiques n’obéissant plus qu’à l’arbitraire sans aucun discernement. L’appel à la délation étant même désormais encouragé par certains maires.
Il apparaît évident que plus on avance dans ce confinement, plus on se rend compte que la gestion de cette « pandémie » cache de tous autres objectifs que le simple fait de vouloir protéger la population, dans la mesure où l’exécutif n’a que faire de son bien être. Il est tout aussi évident qu’à la sortie du confinement les français vont vouloir que soient rendus des comptes, tant le bilan de décennies d’incuries de la part de la caste dirigeante a mené la France au bord du gouffre.
La France vit des heures de désillusion aussi profonde que celles qu’elle avait connues en mai 1940. La France pensait avoir le meilleur système de santé du monde, comme elle était convaincue d’avoir la meilleure armée du monde en 1940. Et puis, sous nos yeux, tout s’est effondré à une vitesse inimaginable. On n’a quasiment rien venu venir et personne n’a rien fait pour endiguer cette descente aux enfers. On se demandait pourquoi la France avait manqué de moyens et pourquoi les soldats n’avaient pas les équipements adéquats.
Aujourd’hui, on s’interroge pour comprendre pourquoi la gestion de cette pandémie est tellement ubuesque. On perd notre temps à discuter et à tergiverser autour des problèmes d’intendance qui n’auraient pas dû exister si le système de santé français était vraiment le meilleur du monde. Mais le système de santé français n’est pas le meilleur du monde. La France n’est plus un grand pays, mais une petite nation mesquine, bouffie d’orgueil et de prétention. Et en face d’un virus microscopique, l’orgueil et la prétention, ça ne sert à rien. Tous nos services publics ayant été privatisés, tout n’est plus qu’affaires de gros sous. Tous les experts médicaux ne répondant plus qu’à des doctrines dont les intérêts sont portés par les grands laboratoires pharmaceutiques. La santé des êtres humains est reléguée à de simples statistiques dont personne n’est en mesure d’apporter l’origine des chiffres annoncés officiellement par des merdias totalement soumis aux intérêts de plus grandes fortunes.
Et la Justice dans tout ça ?
La Justice est en soins intensifs, sous respirateur artificiel, en état de mort clinique. Les tribunaux ne rendant plus qu’une pseudo justice calquée sur l’arbitraire immonde d’un exécutif aux abois. Tous nos droits sont bafoués, annihilés.
Il faut pourtant et de toute urgence se poser la question de savoir pourquoi un tel désastre, pourquoi une chute aussi vertigineuse. On ne peut s’empêcher de se poser la question de savoir pourquoi et comment cela a été rendu possible. Et cette catastrophe en cours nous amène inévitablement à ces conclusions : incompétence, inorganisation, absence de vision à long terme, improvisation, corruption majeure et conflits d’intérêts. En résumé : nullité et criminalité de nos dirigeants et de tous ceux en charge de nos institutions et de la préservation de nos services publics.
Ces générations de hauts fonctionnaires responsables du lent déclin de la France est en train d’entrer dans l’Histoire comme les généraux de l’armée française en 40. Une caste de petits chefs, de techniciens imbus de leur position dominante, de cette suffisance à s’en étouffer, qui ont systématiquement une guerre de retard sur tous les fronts, comme la plupart des généraux de 1940, qui se croyaient encore en 1918.
Ceux qui en payent le prix fort, ce sont les morts de plus en plus nombreux, mais aussi tous ceux qui en subissent chaque jour la gabegie et l’incurie. C’est toujours la base qui paye le prix fort de la nullité abyssale de sa hiérarchie.
La France n’est plus un grand pays, mais une petite nation mesquine, bouffie d’orgueil et de prétention.
Toutes ces injustices insupportables et intenables, il faut maintenant y faire face car il en va tout simplement de notre survie. Il faut maintenant y répondre d’une manière ou d’une autre. Emmanuel Macron a comparé cette épidémie à une guerre. Mais ne nous y trompons pas. Il s’agit bien d’une guerre. Mais une guerre déclarée de la caste dirigeante à son propre peuple. Et cette déclaration se retournera inévitablement contre ceux qui croyaient en tirer parti.
Car en face d’un tel désastre, ils ne pourront plus se contenter d’une distribution de Légions d’honneur à toutes les pourritures et à ceux qui ont trahi la Nation.
Le besoin de justice est fondamental pour notre cohésion sociale. Car c’est ce sentiment qui structure une société en premier lieu. Or quand il est piétiné, bafoué de cette façon, ce n’est pas seulement la confiance qui s’effondre, mais c’est la totalité de l’édifice.
C’est pourquoi l’ensemble du peuple français est appelé à désobéir et à ne plus consentir à aucune injonction de cet exécutif criminel.
C’est également pourquoi nous devons tout mettre en œuvre, maintenant et plus que jamais afin de neutraliser de toute urgence tous ces criminels qui nous retiennent en otages.
La Ve république doit être déclarée abolie et les français doivent prendre leur destin en mains.