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La Ve république, ce vaste théatre de Guignols !

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Il n’y a plus d’état, il n’y a plus de république.
Il n’y a donc plus aucune autorité publique.
Le pays est aux mains de gangsters, fous et dangereux.
Et tout le monde fait comme si de rien n’était.
 
Cependant, il faut savoir que le Code Civil et le Code Pénal sont les deux monstres du Droit qui régissent l’ensemble de la vie collective du point de vue judiciaire. Or, toutes les lois promulguées depuis 1804 sont inexistantes, nulles et de nul effet.
Plus aucune loi ne nous est opposable.
Aucun tribunal ne peut plus rendre de jugement au nom de la république et du peuple français.
 
Le gouvernement, les députés, les sénateurs, ainsi que l’ensemble des responsables des institutions républicaines françaises sont des usurpateurs.
 
Le code Civil a été rédigé sous le règne de l’Empereur Napoléon Bonaparte et promulgué par lui le 21 mars 1804 (30 ventôse an XII).
L’article 1 de ce code disposait à l’origine que :
« Les lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de la promulgation qui en est faite par le Roi.
Elles seront exécutées dans chaque partie du Royaume, du moment où la promulgation en pourra être connue.
La promulgation faite par le Roi sera réputée connue dans le département de la résidence royale, un jour après celui de la promulgation ; et dans chacun des autres départements, après l’expiration du même délai, augmenté d’autant de jours qu’il y aura de fois 10 myriamètres (environ 20 lieues anciennes), entre la ville où la promulgation en aura été faite, et le chef-lieu de chaque département ».
 
Cependant, c’est par l’Ordonnance n°2004-164 du 20 février 2004 que l’article a été radicalement modifié pour devenir le texte ci-dessous.
« Les lois et, lorsqu’ils sont publiés au Journal officiel de la République française, les actes administratifs entrent en vigueur à la date qu’ils fixent ou, à défaut, le lendemain de leur publication. Toutefois, l’entrée en vigueur de celles de leurs dispositions dont l’exécution nécessite des mesures d’application est reportée à la date d’entrée en vigueur de ces mesures.
En cas d’urgence, entrent en vigueur dès leur publication les lois dont le décret de promulgation le prescrit et les actes administratifs pour lesquels le Gouvernement l’ordonne par une disposition spéciale.
Les dispositions du présent article ne sont pas applicables aux actes individuels ».
Question prioritaire de constitutionalité : Pourquoi ont-ils modifié l’article seulement en 2004, soit 2 siècles plus tard ?
 
Art. 10 de la Constitution du 4 octobre 1958 : Les lois sont promulguées par le Président de la République dans les quinze jours qui suivent la transmission du Gouvernement de la loi définitivement adoptée.
Pourtant, il n’y a que le roi qui puisse promulguer les lois.
 
Une fois de plus et pour encore une autre raison, la constitution de 1958 instituant la Ve république s’avère être en contradiction formelle avec toutes les valeurs et les textes les plus hauts de notre pays.
 
Nos pseudo- représentants autoproclamés depuis 1789 font exactement ce qu’ils veulent car ils  n’ont aucun compte à rendre à la population, s’autorisant toutes les dérives et toutes les corruptions. Normal. Ce sont eux qui écrivent les règles de leurs mandats alors que pour qu’ils ne puissent plus faire tout ce qu’ils s’autorisent, ce devrait être nous, le peuple, qui rédigions les règles de la représentation publique et de l’organisation des pouvoirs publics.
La république est infestée. Tout le monde en a désormais conscience.
On ne peut plus continuer comme cela.
Des sommes gigantesques d’argent public sont détournées d’année en année par ceux qui devraient en être les gardiens. Le patrimoine collectif est pillé et vendus à des intérêts supranationaux sans que nous ayons un seul mot à dire. Tout les biens publics apportant une plus value au patrimoine collectif sont privatisés un à un. Toutes les dettes privées sont rendues en dettes publiques pour le plus grand profit d’intérêts plus puissants que certains états.
Ceux qui devraient être les garants de notre sécurité et de notre intégrité à tous sont précisément ceux-là même qui sont nos tortionnaires.
Toutes les valeurs sont inversées et il est profondément inadmissible et intolérable que le peuple subisse plus longtemps de tels affronts, un tel mépris, une telle violence physique et psychique institutionnelles et une telle humiliation.
Et pourtant, ce ne sont que des usurpateurs. Et comme tous les usurpateurs, ils ne peuvent se maintenir que par la force, la contrainte et la coercition. Mais ils sont démasqués sont sous étroite surveillance populaire. Ils ne peuvent plus aller très loin. Pourtant, ils continuent d’agir en toute impunité. Et ils continueront d’agir tant que nous laisserons les choses perdurer de cette façon. 
C’est pourquoi, il est maintenant devenu impératif et urgentissime, pour l’intérêt de toutes et de tous, d’abolir la Ve république qui est la bible de toutes les corruptions et de tous les excès de nos pseudo-représentants qui ne représentent qu’une petite caste de privilégiés qui s’accordent eux-mêmes ces privilèges et qui vont même pour certains jusqu’à voler le mobilier national qui est un bien collectif, sans que le peuple ne puisse avoir aucun contrôle.
Nous ne pourrons sortir de ce guêpier qu’en leur mettant une pression maximum.
Mais il n’y a qu’un peuple uni qui pourra les arrêter. Un peuple uni autour de l’idée d’en finir une bonne fois pour toute avec cette Ve république qui est déjà en état de mort cérébrale.
C’est le premier pas indispensable que nous devons franchir tous ensemble, si nous voulons enfin prendre nous-mêmes le contrôle de nos institutions et des pouvoirs publics en rédigeant une nouvelle constitution par et pour le peuple de France.
 
En définitive, tout ce à quoi nous assistons et consentons n’est que du théatre de guignol, une vaste supercherie frauduleuse. Mais il faut tout de même reconnaître que les acteurs sont très bons. En tous cas ils s’en donnent les moyens, avec toutes les taxes et les impôts sous lesquels ils nous font croûler.
Ceci dit, les planches commencent à craquer. La grande scène du théâtre républicain menace de s’effondrer.
Sous les dorures, la vérole.
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